Sunday, September 17, 2006
J'aime le drapeau du Brésil. Pour ses couleurs. Pour ses symboles.
Il a été hissé pour la première fois le 19 novembre 1889, suite à la proclamation de la république (l'indépendance datant de 1822).
Le vert symbolise la forêt équatoriale et le jaune les ressoures du sol. Le globe représente le ciel, avec au milieu la croix du sud, symbole chrétien et austral entouré de 27 étoiles blanches qui incarnent les 26 états fédérés ainsi que le district de Brasilia. La disposition des constellations autour de la Croix du Sud est quasiment respectée. (Petit Chien, Grand Chien, Hydre femelle, Carène, Octant, Vierge, Triangle austral, Scorpion). Sur le bandeau central, "Ordem e Progresso" (Ordre -pour la base- et progrès -pour but-), la devise du positivisme fondé par le philosophe français Auguste Comte (qui à l'origine incluait aussi l'amour).
Friand d'actualité politique latine-américaine, je suis depuis quelques mois la campagne plus qu'intéressante du Brésil (1er tour le 1er Octobre, 2nd tour le 29 Octobre). Le duel à venir? L'actuel président Lula (PT - coallition A Força do Povo") face à Alckmin (PSDB - Coalition "Pour un Brésil décent ») qui remonte de manière surprenante dans les sondages, avec quelques challengers qui peuvent encore créer des suprises (Cristovam Buarque, Luciano Bivar, José Maria Eymael, Heloísa Helena, Ana Maria Rangel, Rui Costa Pimenta).
Je viens à ce sujet de découvrir par le biais du Petit Journal un excellent blog, "Run Lula Run", de Paul Emile Saab et Bertrand Blais, deux jeunes Français installés à São Paulo et qui ont décidé de suivre de près la campagne électorale brésilienne.
On écoute Loula qui nous explique pourquoi il dit "Quero ser de novo presidente"?
"J'ai beaucoup appris. C'est pourquoi je peux gouverner encore mieux. J'ai plus d'expérience, je connais mieux la machine, je connais le monde et le monde me connaît. Je sais que je peux faire beaucoup plus pour le Brésil. Pour toute ces raisons, je veux être de nouveau président."
"La responsabilité de celui qui gouverne est une chose, celle de celui qui est candidat en est une autre. Ils peuvent promettre tout ce qu'ils veulent, moi je ne promets qu'une chose : gouverner encore mieux. Et ça, je le garantis, je le ferai."
Il a été hissé pour la première fois le 19 novembre 1889, suite à la proclamation de la république (l'indépendance datant de 1822).
Le vert symbolise la forêt équatoriale et le jaune les ressoures du sol. Le globe représente le ciel, avec au milieu la croix du sud, symbole chrétien et austral entouré de 27 étoiles blanches qui incarnent les 26 états fédérés ainsi que le district de Brasilia. La disposition des constellations autour de la Croix du Sud est quasiment respectée. (Petit Chien, Grand Chien, Hydre femelle, Carène, Octant, Vierge, Triangle austral, Scorpion). Sur le bandeau central, "Ordem e Progresso" (Ordre -pour la base- et progrès -pour but-), la devise du positivisme fondé par le philosophe français Auguste Comte (qui à l'origine incluait aussi l'amour).
Friand d'actualité politique latine-américaine, je suis depuis quelques mois la campagne plus qu'intéressante du Brésil (1er tour le 1er Octobre, 2nd tour le 29 Octobre). Le duel à venir? L'actuel président Lula (PT - coallition A Força do Povo") face à Alckmin (PSDB - Coalition "Pour un Brésil décent ») qui remonte de manière surprenante dans les sondages, avec quelques challengers qui peuvent encore créer des suprises (Cristovam Buarque, Luciano Bivar, José Maria Eymael, Heloísa Helena, Ana Maria Rangel, Rui Costa Pimenta).
Je viens à ce sujet de découvrir par le biais du Petit Journal un excellent blog, "Run Lula Run", de Paul Emile Saab et Bertrand Blais, deux jeunes Français installés à São Paulo et qui ont décidé de suivre de près la campagne électorale brésilienne.
On écoute Loula qui nous explique pourquoi il dit "Quero ser de novo presidente"?
"J'ai beaucoup appris. C'est pourquoi je peux gouverner encore mieux. J'ai plus d'expérience, je connais mieux la machine, je connais le monde et le monde me connaît. Je sais que je peux faire beaucoup plus pour le Brésil. Pour toute ces raisons, je veux être de nouveau président."
"La responsabilité de celui qui gouverne est une chose, celle de celui qui est candidat en est une autre. Ils peuvent promettre tout ce qu'ils veulent, moi je ne promets qu'une chose : gouverner encore mieux. Et ça, je le garantis, je le ferai."