Tuesday, September 11, 2007
Nous arrivons à la sublime salle des fêtes où se tiennent le vin d’honneur, non pardon, erratum, la Caïpirinha d’honneur! puis le dîner, et la fête de mariage.
Le cadre est divin, un soin a été porté à chaque détail.
Une merveille. Du luxe sans exubérance ni tape à l’oeil. Bref. Du raffinement.
Revenons sur les Caïpirinhas. Une excellente Cachaza et du citron vert gorgé de saveurs, il n’en fallait pas plus mon éveiller mes papilles. Mais la cerise fut la variété : au citron vert, à la fraise fraîchement écrasée devant soi par les barmen plus que sympathiques et souriants (on parlait football, forcément, et ils se rappelaient tous des buts de Khaïri conte le Portugal au Mexique en 1986, je n’en revenais pas !), à la papaye aussi, un régal. Puis j’ai découvert le Caïpisaké (avec du Saké, si si, c’est excellent avec de la fraise !) et la Caïpivodka.
Dîner impeccable.
Je fais un shortcut pour passer directement au clou de la soirée.
2 heures du matin, les lumières tamisées s’éteignent presque toutes brusquement.
Silence. Ce n’est pas le DJ qui a fait une boulette. Non.
Silence. Long.
Puis un sifflet strident retentit au fond de la salle.
Je regarde Mo, la mariée, elle a le sourire jusqu’aux oreilles.
J’ai compris. Batucada !
Ceci (c’était merveilleux) :
Le cadre est divin, un soin a été porté à chaque détail.
Une merveille. Du luxe sans exubérance ni tape à l’oeil. Bref. Du raffinement.
Revenons sur les Caïpirinhas. Une excellente Cachaza et du citron vert gorgé de saveurs, il n’en fallait pas plus mon éveiller mes papilles. Mais la cerise fut la variété : au citron vert, à la fraise fraîchement écrasée devant soi par les barmen plus que sympathiques et souriants (on parlait football, forcément, et ils se rappelaient tous des buts de Khaïri conte le Portugal au Mexique en 1986, je n’en revenais pas !), à la papaye aussi, un régal. Puis j’ai découvert le Caïpisaké (avec du Saké, si si, c’est excellent avec de la fraise !) et la Caïpivodka.
Dîner impeccable.
Je fais un shortcut pour passer directement au clou de la soirée.
2 heures du matin, les lumières tamisées s’éteignent presque toutes brusquement.
Silence. Ce n’est pas le DJ qui a fait une boulette. Non.
Silence. Long.
Puis un sifflet strident retentit au fond de la salle.
Je regarde Mo, la mariée, elle a le sourire jusqu’aux oreilles.
J’ai compris. Batucada !
Ceci (c’était merveilleux) :
Labels: Brazil