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Thursday, November 23, 2006
Philippe Noiret est mort aujourd'hui, "des suites d'une longue maladie".
Vermine de cancer.
L'extrait qui suit est la dernière séquence du film Cinéma Paradisio, un chef d'oeuvre de Giusepe Tornatore.
Je me souviens avoir eu les yeux inondés quand j'ai vu cette scène pour la première fois.
Assemblage des scènes de baisers "coupées" par Alfredo (Philippe Noiret), projeteur au Cinéma Paradisio, et que Toto (i.e. Salvatore Cascio enfant, Marco Leonardi adolescent et Jacques Perrin en adulte) rêvait de regarder.
Rêve exaucé à la mort d'Alfredo, qui laissait en testament une simple bobine. Un merveilleux montage.
Dans cet extrait, on ne voit pas Alfredo.
On ne verra plus Philippe Noiret.
Il nous laisse en testament une des plus belles carrières qu'a connu le cinéma. Le théâtre aussi.
Les yeux sont une nouvelle fois inondés. Merci Maestro.


 
posted by Amine at 11:00 PM |


5 Comments:


At 11/24/2006 09:00:00 AM, Anonymous Anonymous

Rien à ajouter. Mêmes émotions.

 

At 11/24/2006 01:59:00 PM, Blogger Leguepard

Cinema Paradiso, 1ère émotion au cinéma. La musique y est aussi pour quelque chose: merci Ennio Morricone.
Je recherche désespérément la version de 3 heures. Introuvable...

 

At 11/24/2006 05:15:00 PM, Anonymous Anonymous

Merde moi qui voulait voir ce film...c mort la fin je connais deja la fin..merci Amine!!c du beau ca!!

 

At 11/25/2006 04:41:00 PM, Blogger Loula la nomade

Tu vois, au moins lui a réussi avec son jeu à toucher des millions. Voilà pourquoi je le nomme encore le bienheureux.

 

At 11/27/2006 11:36:00 AM, Anonymous Anonymous

rholala moi aussi j'adore ce film!Il y règne une,poésie un sens de la nostalgie et un humanisme rares...
Adieu l'ami