Comme d'habitude, il radote et ne nous apprend rien.
En écoute:
«On saura la vérité dans l'affaire Ben Barka»
La disparition en 1965 de l'opposant marocain Mehdi Ben Barka n'a toujours pas livré tous ses secrets. En France, le juge d'instruction Patrick Ramaël a été chargé d'enquêter sur ce dossier. L'an dernier, il s'était déjà rendu au Maroc pour interroger des membres des services de sécurité qui étaient en poste à l'époque. Lundi 22 mai, il a entendu l'un des personnages clés du régime de l'ancien roi du Maroc Hassan II : l'ex-ministre de l'intérieur Driss Basri.
Basri a raté la fin de sa vie, c'est rriste pour lui. Mais comme il en a si bien réussi la première pqrtie, ceci compense cela.
S'il avait plus de dignité et plus d'honêteté intellectuelle, lui qui se prétend docteur en droit, auteur de plusieurs ouvrages de référence (merci les nègres,je pourrais citer quelques noms mais je crois que tout le monde à la Fac de droit de Tabat les connait), Dris Basri aurait pris son stylo (surement un Mont Blanc avec plume en or massif) et il aurait écrit ses mémoires.
Une telle attitude relèverait du comportement civilisé. Mais lui prèfère s'épancher sur les plateaux de télé, dans les journaux, surtout ceux qui en veulent au Maroc et maintenant il joue à la balance.
N'oublions pas qu'en 1965, Dris Basri était unminable commissaire de police qui fréquantait la fac de droit, soi disant pour passer sa licence, mais surtout pour récolter des renseignements sur les activités de l'UNEM...
Lamaentable.....