Rahm... yes. dot. dot. dot.
Labels: Middle East, USA
At 5/19/2009 10:51:00 PM, Amine
Réda,
Pardon mais tu as tout faut.
Rahm est de confession juive? Et alors? C'est sa vie, aucun problème avec cela. Non, le problème est qu'il est de double nationalité, et que tout simplement un citoyen israelo-americain qui gere, parmi d'autres sujets, le dossier israelo-palestinien, ça fait juste "un peu" juge et partie.
J'ai suivi a la tele, comme tout le monde d'ailleurs, la rencontre entre Le president Obama et nathanyahu. Durant tous les meetings precedents entre un president americain et les dirigeants israelites, la reunion s'acheve par une chaleureuse poignee de main et des sourires des deux cotes qui durent un certain temps pour envoyer un message aux pays arabes quant a la solidite des relations americano-israeliennes etc..etc..
Or hier, ce handshake n'a pas eu lieu comme d'ordinaire. Je sais que ce n'est pas a cause du risque d'attraper le virus H1N1-il semble qu'il a une signification profonde qui presage des changements dans l'
attitude des USA vis a vis du monde arabe.
Je me demande ce que pensent le president en omettant de serrer la main au Premier israelien
et ce qu'on pense egalement a Tel Aviv ?
Cette remarque n'a pas ete rapportee par les medias (jusqu'a present) - Si la presse de l'Ouest ne l'a pas mentionnee pour des raisons qu'on n'ignore pas, la presse de Moyen-Orient va sauter la-dessus pour celebrer cet indice de changement d'attitude des USA vis-vis de leur ennemi mortel.
At 5/20/2009 07:46:00 AM, cabalamuse
A few months ago, I reported (here) the following:
I was hardly surprised when Benjamin Emanuel, the father of Obama’s chief of staff Rahm Emanuel (who is Jewish), talking about his son stated in an interview to the daily Ma’ariv:
“Obviously, he will influence the president to be pro-Israel. Why wouldn’t he? What is he, an Arab? He’s not going to clean the floors of the White House.”
Mr. Rahm Emanuel quickly picked up the phone and apologized to the American-Arab Anti-discrimination Committee for his father’s disparaging comments. No apology was necessary to the Arabs of the world; they matter as much to the Obama administration as they did to the Bush one.